Un céleri cuit à l’étouffée avec une volaille
Voilà une plante d’hiver qui se consomme crue en salade, ou cuite en gratin, purée ou pourquoi pas en frite. Le chef belge David Martin en habille une volaille de Bresse pour une cuisson à l’étouffée.
Voilà une plante d’hiver qui se consomme crue en salade, ou cuite en gratin, purée ou pourquoi pas en frite. Le chef belge David Martin en habille une volaille de Bresse pour une cuisson à l’étouffée.
Il existe un longue tradition du fumage du saumon en France, en raison de la présence de ces poissons dans le Sud-Ouest, notamment l’Adour.
A deux pas des Champs-Élysées, voici un restaurant où l’on assiste à la préparation du repas. Stéphanie Le Quellec crée La Scène, où la carte est un répertoire des meilleurs morceaux à déguster dans son assiette. Ici, une Saint-Jacques cuite à l’unilatérale.
Chaque 14 février, les restaurants sont complets pour la Saint-Valentin, uniquement en tables de 2 couverts ! Ce n’est pas leur meilleur chiffre d’affaires, mais ils offrent une soirée de partage et de convivialité où seul compte l’amour des plats (et du partenaire)…
C’est l’une des nouvelles belles tables de Bordeaux, et qui devrait vite trouver la reconnaissance du monde de la gastronomie. Le chef Younesse Bouakkaoui y marie ses origines marocaines avec le terroir girondin pour des plats d’une grande originalité et d’une finesse remarquable.
Il existe deux grands types de variétés de moules, celles de piquet (ou de bouchot) qui subissent les marées et ne sont pas toujours sous l’eau, et celles de cordes qui restent en immersion durant toutes leur croissance. Comment choisir ?
Les premières semaines de l’année sont la période idéale pour la truffe. Celle de Carpentras ou du Périgord sont en pleine forme, et Jérôme Banctel, le chef du Gabriel à Paris, la sublime dans un plat très original.
Les bouillons sont des restaurants populaires et bon marché, qui attirent toujours beaucoup de monde, comme le « Bouillon Pigalle » à Paris. Mais l’un des plus anciens est le Bouillon Chartier. Son histoire mérite d’être racontée.
Masashi Iijima a appris la cuisine française dans son pays au Japon. Il a voulu ouvrir son restaurant à Collioure, village dont il est tombé amoureux en venant en vacances.