Les repas du Nouvel An chinois
Avec la crise sanitaire, le Nouvel An chinois ne connait pas, cette année encore, son éclat habituel. Toutefois, il garde sa tradition culinaire, car les dîners de fêtes accompagnent le changement de signe.
Avec la crise sanitaire, le Nouvel An chinois ne connait pas, cette année encore, son éclat habituel. Toutefois, il garde sa tradition culinaire, car les dîners de fêtes accompagnent le changement de signe.
À Amiens, le chef Éric Boutté est l’emblème de la gastronomie picarde, qu’il a mise en valeurs jusqu’au bout du monde. Face à la crise, il refuse de se lamenter, garde confiance en l’avenir, et propose chaque semaine un menu différent à emporter.
Direction l’Élysée, avec le très beau livre de son chef Guillaume Gomez À la table des présidents, paru au Cherche Midi éditeur. Une cinquantaine de menus depuis René Coty, pour une photographie de la société à chaque époque.
À la Rochelle, le pêcheur en mer et chef 3 étoiles Christopher Coutanceau commence à trouver le temps long. Mais il continue de cuisiner pour de la vente à emporter.
La phrase de Bertolt Brecht, en cette période de crise sanitaire, à alimenté la réflexion de Thierry Marx sur la manière dont nous devons mener nos existences.
À la tête d’un bistrot chic près de l’Arc de Triomphe, Jean-Marc Notelet continue de travailler malgré la crise, et change sa carte (à emporter) chaque semaine. La reprise sera passionnante, d’après ce cuisinier amoureux des épices et qui veut rester optimiste.
Gaston Lenôtre aurait eu 100 ans. Pour l’occasion, son livre culte de recettes de pâtisserie est réédité. L’occasion de brosser le portrait d’un chef hors du commun.
Entre Aix-en-Provence et le Lubéron, le chef nouvellement étoilé Nicolas Bottero se bat pour sauver le mas qu’il a ouvert en 2017, entre ses plats à emporter et sa boutique gourmande.
Ils sont une tradition ancienne dans les régions productrices de la filière des palmipèdes, surtout dans le Sud-Ouest. Les marchés au gras sont un rendez-vous à ne pas manquer entre novembre et février.
Ancienne avocate fiscaliste, Ecaterina Paraschiv a tout plaqué pour ouvrir un café et un restaurant au nom de l’appareil à préparer le café de son enfance en Roumanie : l’Ibrik. Pendant le confinement, elle met sa cuisine en bocaux à emporter.