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Ma petite Française

Le Livre

Mon premier roman est celui de Berlin, à travers deux aventures sentimentales de la même personne à trente ans d’écart. Vous pourrez revivre l’époque du Mur, que j’ai moi-même connue en allant à Berlin dès l’âge de quinze ans, et la période actuelle d’une ville qui occupe une place à part dans l’histoire de l’Europe.

Le livre interroge sur les questions d’identité et sur certaines barrières invisibles, aussi insupportables qu’un mur, qui s’érigent tout au long d’une vie. Ainsi Hélène découvre-t-elle l’amour, la passion, la mort, et certains préjugés qui encombrent l’existence.

 

Voilà plus de 40 ans que je vais à Berlin au moins deux fois dans l’année. Je ne me lasse jamais de cette ville qui appartient, qu’on le veuille ou non, à notre histoire.

Seuil, 2011

Laissez-moi vous parler de « Ma petite Française »

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vidéo réalisée par Sébastien Carbonnier

Extrait

Nous, le Mur, on ne le voyait même plus. Le temps l’avait rendu invisible. On ne voulait rien savoir. Quand un étranger nous demandait dans la rue « où est le Mur ? », on répondait invariablement « toujours tout droit ! ». Pour beaucoup, cette construction était vécue comme un aboutissement de l’inexorable, une fin inévitable dans la Guerre Froide. L’habitude avait brisé les consciences, pire, elle effaçait les douleurs. Combien d’amis, de parents pour certains, avions-nous laissés de l’autre côté ?

Quel sentiment curieux que celui d’être étranger à soi-même. Se dire : « Mon cousin, mon camarade de classe, mon ancien voisin, vit à quelques mètres seulement – nous pouvons même nous entendre en criant par-dessus le béton, nous avons grandi ensemble, nous parlons une langue commune, nous sommes du même sang – or lui, appartient à une nation différente, un autre pays. » Pour nous rencontrer, il fallait franchir des barrières, répondre à des questionnaires, être fouillés, toisés, par des soldats, jouer les enfants modèles, bien sages, au poste frontière. Parfois, oui, c’était vraiment étrange.

Je n’étais pas vraiment d’accord avec tout cela. Mais comment faire autrement ?

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L’avis des lecteurs

Florient (sur Amazon)

Ce texte prend le chemin des amitiés qui se nouent, qui s’oublient, qui se retrouvent, au travers du grand H en filigrane de l’Histoire. Les parties de chaque chapitre s’imbriquent dans un puzzle rondement mené, une valse.

Denis (twitter)

Après-midi plage avec Ma petite Française : que du bonheur !!! Le roman se lit trop vite …

Yvan (par mail) :

Je trouve formidable d’arriver à entremêler les histoires, les « petites » histoires, l’histoire des gens, avec la grande Histoire. Et puis la structure, le suspens, les révélations, la dramaturgie, tout ce qui nous donne envie de ne pas déposer le livre avant la fin.

Jean-Luc (sur son blog) :

Le lecteur (…) qui ne connaît pas Berlin avant de lire ce roman à suspens, n’aura qu’une envie en fermant ce livre : connaître enfin et vite Berlin. Ce roman (…) m’a littéralement emporté et bouleversé.

Barbara (par lettre) :

Très belle surprise… J’aime l’effet « chorale » historique très joliment écrit… Une belle intrigue aussi… Bref, certains auteurs connus ont eu des prix pour des livres beaucoup moins aboutis et réussis…

Robert (par mail) :

Poignant… le passage sur les barbelés de la Zimmerstrasse quand le micro-évènement symbolise la macro-actualité. Envoûtant… le dialogue qui se noue dans l’avion entre Ellen et David et j’ai kiffé en lisant « l’once d’un frémissement du début de l’entame de quelque chose… »

Monique (sur facebook) :

J’ai lu hier votre livre d’une seule traite. Merci… Ce Berlin, ce mur, le lecteur se les imagine… À l’heure où le Mur est tombé mais où nous avons chacun notre mur sur FB notamment, votre roman a une épaisseur, une densité, c’est une fête de l’intelligence…

Anna (sur ce site) :

Le livre m’a surprise, m’a émue, m’a faite rire, m’a faite souvenir mon séjour à Berlin. C’était comme si j’étais moi même la petite française. Merci beaucoup pour me faire vivre des sensations extraordinaires. Et surtout, n’arrêtez pas d’écrire !

Marie (sur Facebook) :

On y sent, et c’est un délice, tout l’amour que vous portez à cette ville et il est très plaisant que vous ayez également enrichi votre roman d’éléments historiques très intéressants ! Mais surtout : quels beaux portraits d’âmes ! Par quelle finesse et quel talent ! Vous arrivez à vous mettre (et le lecteur) dans la peau d’un jeune Turc, d’une femme d’une quarantaine d’années et d’un juif trentenaire…

Théa (par courrier) :

Ce roman est plein d’intrigues et c’est ce qui nous pousse à le lire jusqu’au bout pour connaitre le fin mot de l’histoire. En plus, le sujet est bien choisi, et englobe plein d’autres sujets qui peuvent concerner un bon nombre d’adolescents : la délinquance, l’homosexualité…

Nanou (par mail) :

Les sentiments des personnages sont tellement justes, tellement forts. Et toutes ces barrières qu’ils mettent en évidence m’ont mis le doigt sur bien d’autres que je me crée dans ma vie à moi. La relation de David et Hélène m’a tenue en haleine jusqu’au bout et j’aime cette fin qui vient comme un apaisement.

Rafik (par twitter) :

Week-end lecture : « L’art français de la guerre » de A. Jenni & « Ma petite Française » de B. Thomasson. Passionnants !

Mr Leroux (sur son blog)

Un livre passionnant servi par une écriture vive et puissante, bref : un régal !

Sabine (sur facebook) :

Je passe le livre aux amis, et ils adorent…

Lilou (sur ce site) :

Je l’ai dévoré, je l’ai adoré!! Il m’a également beaucoup émue, ce n’est pas possible de s’ennuyer en le lisant, vous m’avez aussi donné l’envie d’aller à Berlin, merci beaucoup !!

Ariane (par Twitter) :

Merci pour ce très bon moment passé avec votre livre « Ma petite Française »… A quand le prochain ?

Pierre-Louis (sur facebook) :

Excellent ton bouquin !