La cuisine des troupes
Nous avons vécu un Nouvel An particulier, interdits de nous déplacer pour retrouver nos proches. Une situation que connaissent chaque année les soldats en mission à l’étranger.
Nous avons vécu un Nouvel An particulier, interdits de nous déplacer pour retrouver nos proches. Une situation que connaissent chaque année les soldats en mission à l’étranger.
Les chefs attendent avec impatience la réouverture de leurs établissements dans un mois. D’ici là, beaucoup se contentent d’une vente à emporter, comme Alain Pégouret, du Sergent Recruteur à Paris, mais avec la même exigence qu’en salle.
Pour Noël, il existe une tradition en Provence, celle des Treize Desserts. Elle est encore respectée dans les familles, avec chacune sa propre composition du plateau servi à la fin des repas de fête.
Pour retisser le liens entre ses équipes et ses convives, l’Auberge de Collonges lance un marché de Noël pour venir récupérer les meilleurs produits de ses fournisseurs et quelques plats emblématiques créés par Paul Bocuse.
À l’approche de Noël, évoquons le pain, un des symboles les plus forts du christianisme. Le pain appartient largement au patrimoine culinaire français et retrouve une qualité de fabrication.
C’est la plus jeune cheffe étoilée de France. Julia Sedefdjian propose de la vente à emporter, formule qu’elle espère développer dans une nouvelle adresse parisienne après la crise, si les banques la suivent.
Deux actualités ces derniers jours dans le monde de la gastronomie. La disparition de Marc Meneau, et l’entrée de la truffe de Lalbenque au patrimoine culturel immatériel de la France.
Il a été double étoilé, élu chef de l’année en 2012. Désormais il donne des cours de cuisine en prison, conseille la restauration collective, et prépare des repas pour les plus démunis pendant le confinement.
En ce week-end, les enfants de certains régions attendent la visite du Saint-Nicolas, pour avoir des confiseries, et espèrent éviter le Père Fouettard. Une tradition ancienne qui perdure toujours.
Plusieurs chefs étoilés demandent au chef de l’État de les recevoir. Ils expriment leur colère et s’indignent de devoir rester fermés jusqu’à la mi-janvier. Parmi eux, Guy Savoy, trois étoiles à la Monnaie de Paris.