Le chocolat nous vient d’Amérique centrale
Ce sont des fèves que les Astèques et les Mayas diluaient pour faire une boisson amère, souvent diluée avec de la vanille. C’est devenu un aliment solide en arrivant en Europe.
Ce sont des fèves que les Astèques et les Mayas diluaient pour faire une boisson amère, souvent diluée avec de la vanille. C’est devenu un aliment solide en arrivant en Europe.
Avec plus d’un demi-siècle de trois étoiles Michelin, « L’Auberge de l’Ill », près de Colmar, est une institution alsacienne. Elle est jumelée avec le restaurant de Paul Bocuse à Collonges-au-Mont-d’Or.
Sur le Larzac, c’était l’agriculture bio et les circuits-courts avec quarante ans d’avance !
C’est une restaurant de luxe, gare de Lyon à Paris, qui a vu passer les plus grands de ce monde au fil des décennies. Il doit son nom à un train circulant vers la Méditerranée.
La morue, ou cabillaud, est un poisson des mers froides. Elle sert pourtant à une spécialité des Antilles, pays chaud : les acras. Ici avec Babette de Rozières.
C’était l’un des nombreux moulins de Paris qui préparaient la farine pour les boulangers. Il est ensuite devenu une guinguette avant d’être aujourd’hui simplement visible de l’extérieur.
C’est une plante tuberculeuse dont les rizhomes rappellent ceux du topinambour. L’hélanti est un légume oublié, revenu sur les tables des chefs depuis deux décennies. Sylvain Lebras, à Nantes, aime l’accomoder à du gibier.
Il est né dans les Flandres, et des boutiques rétro l’ont rendu célèbre dans le monde entier, c’est le Merveilleux.
Pierre Gagnaire est un génie de la gastronomie, capable de jouer ses partitions culinaires à l’impro. Par exemple ici, en quelques minutes à peine, des morilles à la crème et aux asperges.
Après la guerre et les restrictions, les années 50 marquent un retour à une bonne cuisine, et à une certaine influence américaine.