L’invité culture. Didier Van Cauwelaert se passionne pour Einstein.
Albert Einstein est-il toujours parmi nous ? On pourrait le croire à lire Didier Van Cauwelaert, qui se passionne pour les travaux du physicien, mais aussi pour la nature et l’environnement.
Dans son dernier roman J’ai perdu Albert (Albin Michel), Chloé est une voyante qui lit dans l’avenir de manière incroyable et conseille les plus grands de ce monde. Jusqu’au jour où ses facultés disparaissent.
Son esprit, hanté depuis l’enfance par celui d’Albert Einstein (qui lui soufflait toutes ses visions), se retrouve incapable de la moindre prédiction. Car Albert l’a larguée pour aller s’installer dans le cerveau de Zac, un garçon de café mais aussi apiculteur en déroute.
Didier Van Cauwelaert prend prétexte de cette comédie pour nous alerter sur l’avenir de la biodiversité et notamment la disparition des abeilles. Car Einstein avait prédit que le jour où l’abeille disparaitra, l’homme n’aura plus que quatre années à vivre.
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Didier Van Cauwelaert
Je voulais vraiment mettre en scène l’énergie émotionelle d’Einstein, raconte le romancier dans cet entretien, parce qu’elle est magnifique. Einstein qui a écrit : « Je crois en une vie après la mort parce que l’énergie ne peut pas mourir, elle se transforme, elle circule, elle ne s’arrête jamais. »