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Récemment dans le 12-14, j’ai reçu des amateurs de mots.

Premier exemple, en cette période de campagne électorale, la manière dont les hommes politiques sont affublés de surnoms, liés à leur patronyme, à leur physique, à leur caractère ou à leur fonction. Marie Treps, linguiste et sémiologue au CNRS, a fouillé l’intimité surnominale des politique dans « La rançon de la gloire » (éd. du Seuil). Ecouter la séquence ici :

Si les politiques s’envoient parfois quelques noms d’oiseaux, c’est assez rare. Par contre c’est banal dans la vie courante pour vous et moi, où gros-mots, jurons et autres insultes s’entendent plus fréquemment qu’on le voudrait. Gilles Guilleron, professeur agrégé de lettres modernes, s’est penché sur la question dans « Le petit livre des gros mots » (éd. First). Ecouter la séquence ici : 

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