Du temps jadis de nos ancêtres, on travaillait, on dormait, et on se reposait un peu. Aujourd’hui, on dort toujours autant, mais on travaille nettement moins, et comme la durée de vie a presque doublé, le capital temps libre de l’existence est énorme. Et c’est ce temps de non-travail qui devient structurant pour toutes nos vies (choix du lieu de vie, mobilité, fidélité politique). Quatrième volet de ma série sur la pré-présidentielle, le sociologue Jean Viard pour son « Nouveau portrait de la France » (éd. de l’Aube).
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