En Birmanie, le parti de Aung San Suu Kyi est désormais reconnu, la presse ressent un souffle d’air, la communauté internationale admet un début de détente. Qu’en est-il réellement ? Pour mieux appréhender la situation dans cette dictature lointaine, j’ai demandé à un ethnologue spécialiste des populations de Malaisie, Birmanie et Thaïlande, Jacques Ivanoff, de venir faire le point en studio.
Ecouter l’interview :
Jacques Ivanoff travaille pour l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-est contemporaine (IRASEC) qui a notamment publié : « Thaïlande contemporaine » (ci-contre) et « The politics of silence » sur la Birmanie (ci dessus).