Tous les ans, Sylvain Tesson part dans le grand nord russe et nous en ramène de très beaux livres (prix Goncourt de la nouvelle pour « Une vie à coucher dehors« , Gallimard). De ses multiples voyages, il s’est imprégné de la langue russe, elle même très marquée par le français, ce qu’il raconte dans « Ciel, mon moujik! » (éd. Chifflet et compagnie). Il en parle aussi bien au micro qu’au fil des pages de ce livre :
Un autre livre sort ces jours-ci : « Aphorisme dans les herbes, et autres propos de la nuit » (éd.Equateurs)