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La coupe des Confédérations, qui s’est achevée dimanche, n’a pas suffi à clamer la colère des Brésiliens. Au contraire ce prélude au Mondial 2014 de football a confirmé que la population refuse les dépenses somptuaires pour les épreuves sportives, quand la vie devient de plus en plus chère, et que le pouvoir reste corrompu. Face à la pression populaire, les réformes se multiplient. Etat des lieux et décryptage avec Frédéric Louault, professeur en sciences politiques à l’Université libre de Bruxelles.

51FBJrWIsJL._Il a co-écrit « Atlas du Brésil » (éd. Autrement). Ecouter la séquence ici : 

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