Vous qui lisez ce blog, vous qui en tenez un (peut-être), vous qui zappez (sans doute) entre Twitter, Facebook, votre site et vos mails, vous êtes-vous un jour interrogé sur le sens à donner à cette frénésie, et sur ses conséquences. Geek parmi les geeks, Thierry Crouzet a fait une overdose du Net, et a décidé de tout arrêter pendant six mois. Il est venu me parler de cette période, qu’il fait vivre dans un livre : « J’ai débranché » (éd. Fayard).
Ecouter l’interview :
Vous qui lisez ce blog, vous qui en tenez un (peut-être), vous qui zappez (sans doute) entre Twitter, Facebook, votre site et vos mails, vous êtes-vous un jour interrogé sur le sens à donner à cette frénésie, et sur ses conséquences. Geek parmi les geeks, Thierry Crouzet a fait une overdose du Net, et a décidé de tout arrêter pendant six mois. Il est venu me parler de cette période, qu’il fait vivre dans un livre : « J’ai débranché » (éd. Fayard).
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Bonjour,
Je vous propose ce lien et surtout les commentaires :
http://www.logiste.be/blog/3-mois-sans-reseaux-sociaux-mon-bilan/ Il s’est retiré des réseaux sociaux.
Cela me fait penser au livre de Timothy FERRIS « La semaine de 4 heures » où il recommande un usage d’internet, de l’actualité très léger pour « vivre mieux » et retrouver du temps. Si l’info est vraiment importante une personne vous la dira. Vos contacts servent de filtre. Pour ce qui est des boîtes mails (ouvertes en permanence), des réseaux sociaux, c’est décrit comme un distributeur à petites pilules de drogue auquel on devient vite accro et on attend la pilule suivante. Tout ceci diminue considérablement la concentration, la productivité, donne le sentiment de vivre dans l’immédiateté et augmente le stress.
Cordialement.
Bonjour, M. Bernard Thomasson Votre introduction d’interview, elle est très sympathique à lire … fyi. je viens ici grace à google reader;)
Merci pour la rencontre 🙂
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Bonjour,
Je vous propose ce lien et surtout les commentaires :
http://www.logiste.be/blog/3-mois-sans-reseaux-sociaux-mon-bilan/ Il s’est retiré des réseaux sociaux.
Cela me fait penser au livre de Timothy FERRIS « La semaine de 4 heures » où il recommande un usage d’internet, de l’actualité très léger pour « vivre mieux » et retrouver du temps. Si l’info est vraiment importante une personne vous la dira. Vos contacts servent de filtre. Pour ce qui est des boîtes mails (ouvertes en permanence), des réseaux sociaux, c’est décrit comme un distributeur à petites pilules de drogue auquel on devient vite accro et on attend la pilule suivante. Tout ceci diminue considérablement la concentration, la productivité, donne le sentiment de vivre dans l’immédiateté et augmente le stress.
Cordialement.
Bonjour, M. Bernard Thomasson Votre introduction d’interview, elle est très sympathique à lire … fyi. je viens ici grace à google reader;)
Merci pour la rencontre 🙂