On entend sa voix chaleureuse sur les ondes, on voit son visage jovial sur les télévisions, on dévore avec jubilation ses livres érudits. Le jardinier Alain Baraton s’est fait un nom au delà de sa fonction de jardinier en chef du Domaine national de Trianon et du Grand parc du château de Versailles. Son dernier opus, « Le camélia de ma mère », vient de paraître chez Grasset.
Comment est-il passé des arbres taillés aux feuilles écrites ? Est-ce à dire que « cultiver, c’est se cultiver » ? Oui, à l’en croire, car il prétend que seul une intelligence, une humanité, une bienveillance, un savoir, peuvent donner la « main verte ». Et chaque histoire de plantes, de jardins, de domaines, s’émaille d’histoires culturelles et artistiques.
Alain Baraton est ici L’Invité Culture. Il participera dimanche 9 avril au salon du livre d’Autun.
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