Léo Sirota fut un pianiste dont la carrière internationale a été brisée par la seconde guerre mondiale. Ce juif, exilé au Japon, y a subi les conséquences du conflit. Sa fille, Beate, installée aux Etats-Unis, a participé à la rédaction de la constitution nippone, toujours en vigueur aujourd’hui mais de plus en plus menacée. C’est ce double destin à travers le XX° siècle que racontent Nassrine Azimi et Michel Wasserman dans « Le dernier bateau pour Yokohama » (éd. Le ver à Soie).
Ecouter Michel Wasserman, enseignant à l’université de Kyoto, ici :