Notre société qui fonce à 300 à l’heure a besoin de poètes qui prennent le temps de marcher à petits pas, de s’arrêter, de contempler, d’écouter les autres. C’est ce que fait Olivier Lemire. Avant, il bossait dans la com, depuis deux ans, il a tout plaqué pour parcourir la France par les chemins de traverses. Il publie « L’esprit du chemin » (éd. Transboréal). Il faut savoir l’écouter :